Si vous passez par la rue Pascal, vous avez du constater qu’après plus de deux ans de travaux un nouvel hôtel a remplacé L’Hôtel Cardinal : Le Monte Cristo.
Le Comte de Monte-Cristo prête donc son nom au dernier né du groupe Les Hôteliers Impertinents. Cette nouvelle adresse, ouverte il y a moins de 6 mois, puise ses origines dans le caractère bouillonnant de son auteur.
On est d’ailleurs transporté dans le temps dés l’entrée en découvrant un immense cabinet de curiosité, présentant une immense collection d’oiseaux et reptiles.
L’hôtel a été surélevé de 3 étages et compte 50 chambres, dont 3 suites et 4 chambres boudoirs. Chaque chambre raconte sa propre histoire et ont pour sympathiques fantômes, Alexandre Dumas, ses conquêtes féminines et ses voyages. Un détail peint à la main, le choix d’une étoffe, les produits d’accueil aux couleurs de l’hôtel ou l’expression d’une couleur sont la promesse d’un séjour unique et d’une expérience hors du temps.
En plus de la beauté des chambres qui sont déjà une invitation au séjour, notons que plus de 200 pièces d’époques ont été chinées pour offrir à ce lieu une atmosphère inimitable comme ces deux autres espaces hors du commun et qui nous ont particulièrement charmés :
La piscine de 16 mètre de long creusé spécialement dans les sous-sol toujours dans cette charmante coloniale et entourée de plantes exotiques, et son espace hammam.
Mais aussi Le 1802, bar à rhum, aussi magnifique par son décor que par sa carte inédite proposant une sélection des meilleurs rhums, millésimés, arrangés. Car, le saviez-vous, les aïeux d’Alexandre produisaient leur propre rhum à St Domingue. Le comte alias, Simbad le marin, a rapporté ces précieux flacons de ses nombreux voyages. En hommage et par goût, nous avons dédié un lieu à cet élixir.
L’équipe est donc allée sélectionner les meilleurs futs sur place pour offrir une des plus belles caves de Paris et les clients pourront même stocker et garder leurs bouteilles à leur nom… et ouvert aux non-résidants de l’hôtel !
« Si on dédaignait les petites satisfactions de l’existence,
on ne serait pas capable d’apprécier les grandes »
Alexandre Dumas
Publié le 18 octobre 2018